Les composantes de base de la vie

human leg showing how HMB increases protein synthesis and decreases protein breakdown

Après l’eau, les protéines sont l’une des plus grandes composantes du corps et sont parfois appelées « les composantes de base de la vie ». Les protéines sont composées de petites unités appelées acides aminés. Certains acides aminés sont classés « essentiels », c’est-à-dire qu’ils ne peuvent pas être produits par le corps humain et doivent donc être obtenus par l’alimentation. Le corps humain ne stocke pas les acides aminés, ce qui nécessite une consommation quotidienne à partir des protéines.

Le corps humain métabolise constamment les protéines pour remplacer celles qui ont été endommagées par la fonction normale, la perte musculaire liée à l’âge ou des facteurs de stress externes tels que l’entraînement, l’activité, la maladie ou les blessures. Pour maintenir une fonction corporelle saine, il faut réguler l’équilibre entre la synthèse des protéines (fabrication de nouvelles protéines) et la dégradation des protéines (libération d’acides aminés à partir des protéines). Lorsque la dégradation des protéines musculaires est plus rapide que la synthèse des nouvelles protéines musculaires, cela entraîne généralement une perte de la masse musculaire.

Pour combattre la perte musculaire, la supplémentation en protéines est la réponse largement adoptée, mais augmenter l’apport en protéines n’est pas toujours la solution la plus efficace ou efficiente.

Le problème des protéines

Bien que la consommation de protéines apporte un soutien dans la lutte contre la perte musculaire, il faut encore pouvoir consommer la quantité dont le corps a besoin, et c’est là une tâche ardue. Des facteurs sous-jacents comme l’âge et la qualité des protéines peuvent compromettre l’utilisation des acides aminés pour la synthèse des protéines. Ainsi, l’apport en protéines n’est pas le seul facteur régulant la masse musculaire.

L’Institute of Medicine a établi l’apport journalier recommandé (AJR) pour les adultes à 0,8 g de protéines par kilogramme de poids corporel par jour1. Certains chercheurs ont émis l’hypothèse que l’AJR de l’Institute of Medicine n’est pas suffisant pour tous les adultes (p. ex., en cas d’âge avancé ou de limitations fonctionnelles) et qu’un apport plus élevé en protéines permettrait de favoriser l’anabolisme musculaire et de procurer des bénéfices supplémentaires pour la santé musculaire.

Cependant, de nombreux essais cliniques n’ont pas étayé cette hypothèse et n’ont montré aucun bénéfice lié à une consommation de protéines supérieures à l’AJR, que ce soit sur la masse, la force ou la fonction musculaire chez les adultes d’âge moyen et avancé2. Dans un essai clinique bien contrôlé mené auprès des hommes âgés (de plus de 65 ans) présentant des limitations fonctionnelles, l’apport en protéines bien supérieur à l’AJR (1,3 g de protéines par kg de poids corporel par jour) n’a pas augmenté la masse maigre, la performance musculaire, la fonction physique ou le bien-être chez les hommes qui consomment déjà l’AJR de protéines3. De même, l’ajout de 30 g de protéines supplémentaires par jour n’a pas amélioré le maintien de la masse musculaire ou de la fonction physique dans les cas de réplétion protéique chez les femmes âgées (70-80 ans) en bonne santé, malgré les signes de détérioration d’après les mesures musculaires au niveau du membre supérieur4. Dans une méta-analyse de 15 études qui évaluait les effets de la supplémentation en protéines et en acides aminés sur les résultats des exercices de résistance chez les adultes plus âgés (de plus de 60 ans), aucun bénéfice significatif de la supplémentation n’a été constaté sur la force musculaire, la taille des muscles, la capacité fonctionnelle ou la composition corporelle5. Des résultats similaires ont été observés chez les adultes d’âge moyen (40 à 64 ans)6 ; ainsi, l’augmentation de l’apport en protéines au-dessus de l’AJR n’a pas donné lieu à des améliorations induites par l’exercice pour ce qui est de la force, de la composition corporelle ou des biomarqueurs de la santé.

Combinées ensemble, ces études mettent en évidence que l’augmentation seule de l’apport en protéines n’est pas la solution nutritionnelle pour améliorer la santé musculaire (c.-à-d., masse musculaire, fonction physique) chez les adultes d’âge moyen ou avancé.

myHMB est un ingrédient unique qui active la machinerie musculaire ayant pour fonction d’augmenter la production de protéines dans les muscles tout en réduisant leur dégradation. Par ce double mécanisme d’action, le HMB s’est avéré efficace pour optimiser les performances des protéines.7

Le muscle est un tissu dynamique qui se décompose et se reconstruit en permanence à un taux de 1 à 2 % par jour. MyHMB optimise les performances des protéines en activant les principales voies de synthèse des protéines et en protégeant contre leur dégradation excessive. Par ce double mode d’action, myHMB favorise l’utilisation des protéines et des acides aminés qui sont consommés afin de maximiser les bienfaits pour une santé musculaire globale.

Le HMB est produit naturellement au cours du métabolisme de la leucine, un acide aminé essentiel. La leucine est présente dans pratiquement toutes les protéines, mais il n’est pas possible d’atteindre une quantité efficace de HMB par la consommation seule de protéines. Seulement 5 % de la leucine alimentaire se convertit en HMB. Autrement dit, en théorie, il faudrait consommer 60 g de leucine, soit environ 600 g de protéines de haute qualité pour obtenir la quantité de HMB qui s’est avérée efficace. La consommation directe de cette quantité de protéines ou de leucine est un techniquement difficile, voire impossible.

Il existe une solution simple : la supplémentation avec myHMB. La prise de 3 g par jour de myHMB peut aider à maintenir et à améliorer la santé musculaire globale.

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References

  1. Institute of Medicine. Dietary Reference Intakes for Energy, Carbohydrate, Fiber, Fat, Fatty Acids, Cholesterol, Protein, and Amino Acids. Washington, DC: National Academies Press; 2005.
  2. Mittendorfer B, Klein S, Fontana L. A word of caution against excessive protein intake. Nat Rev Endocrinol. 2020;16(1):59-66. doi:10.1038/s41574-019-0274-7
  3. Bhasin S, Apovian CM, Travison TG, et al. Effect of Protein Intake on Lean Body Mass in Functionally Limited Older Men: A Randomized Clinical Trial. JAMA Intern Med. 2018;178(4):530-541. doi:10.1001/jamainternmed.2018.0008
  4. Zhu K, Kerr DA, Meng X, et al. Two-Year Whey Protein Supplementation Did Not Enhance Muscle Mass and Physical Function in Well-Nourished Healthy Older Postmenopausal Women. J Nutr. 2015;145(11):2520-2526. doi:10.3945/jn.115.218297
  5. Thomas DK, Quinn MA, Saunders DH, Greig CA. Protein Supplementation Does Not Significantly Augment the Effects of Resistance Exercise Training in Older Adults: A Systematic Review. J Am Med Dir Assoc. 2016;17(10):959.e1-959.e9599. doi:10.1016/j.jamda.2016.07.002
  6. McKenna CF, Salvador AF, Hughes RL, et al. Higher protein intake during resistance training does not potentiate strength, but modulates gut microbiota, in middle-aged adults: a randomized control trial. Am J Physiol Endocrinol Metab. 2021;320(5):E900-E913. doi:10.1152/ajpendo.00574.2020
  7. Rittig N, Bach E, Thomsen HH, et al. Anabolic effects of leucine-rich whey protein, carbohydrate, and soy protein with and without β-hydroxy-β-methylbutyrate (HMB) during fasting-induced catabolism: A human randomized crossover trial. Clin Nutr. 2017 Jun;36(3):697-705. doi: 10.1016/j.clnu.2016.05.004.